Commençons tout simplement par prendre connaissance du quatrième de couverture
Cher lecteur, chère lectrice,
J’ai une nouvelle sensationnelle pour toi : nous sommes, seulement un an après l’Apocalypse, et devine ce qui se produit enfin ?
Le procès de l’éternité, une confrontation juridique hors du commun : le diable lui-même est mis le banc des accusés !
Peux-tu l’imaginer ?
L’entité est inculpée pour une multitude de crimes inimaginables, mais jusqu’à présent, elle est présumée innocente. Enfin, le mot “innocent” est à prendre avec des pincettes… Après tout, il est communément admis qu’il a commis plus de méfaits et de monstruosités que le code pénal ne pourrait jamais en lister. Et cela fait des millénaires qu’il persiste dans sa voie, c’est du prémédité pur et simple…
Et voilà qu’intervient un miracle : un avocat a accepté de le défendre. Un certain Maître Osgar Morin, un avocat d’une province perdue d’un minuscule pays, la France.
Comme tu peux l’imaginer, les autres avocats de la planète ont refusé l’affaire ! Était-ce parce qu’ils considéraient l’affaire comme perdue d’avance ou parce que les honoraires du diable étaient épuisés ?
Le mystère demeure…
Notre cher Maître Morin s’engage donc dans cette aventure démesurée qui deviendra, sans aucun doute, l’affaire de son existence désormais éternelle. Il mobilise toutes ses ressources : son énergie, son éloquence, et même son âme, pour défendre l’indéfendable.
Il fallait bien qu’un avocat assume ce rôle ingrat, n’est-ce pas ?
Et le sort l’a désigné..
Alors, toi, lecteur ou lectrice passionné(e), en quête du bonheur et de la vérité, installe-toi confortablement et prends des notes aux côtés de notre ami Celestino Luminoso.
Assistons ensemble à ce tournant majeur de l’histoire humaine dans la salle d’audience.
Les juges font leur entrée, tout l’auditoire se lève par respect, et le juge prononce les mots qui résonnent dans le silence :
“Faites entrer l’accusé…”
Laisse la soif de justice te faire frissonner, mon lecteur adoré, comme une onde qui se propage à travers un lac tranquille, en quête d’un monde où la paix et l’équité règnent en maîtres.
Éternellement,
Opal Morin